Danger Futur D'un Avocat D'ici La Fin Du DACA

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Vidéo: Danger Futur D'un Avocat D'ici La Fin Du DACA

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Vidéo: Senators try to sell immigration deal with DACA protections 2024, Avril
Anonim

César Vargas connaît très bien le goût de la victoire. Après avoir vécu des années en tant qu'immigrant sans papiers à Staten Island, New York, il a réussi à entrer à la faculté de droit et à devenir le premier hispanique sans papiers à être accepté par l'association du barreau de son état.

Pour atteindre ce succès, il a dû plaider son cas devant les tribunaux pendant quatre ans, une expérience qui le motive davantage lorsqu'il doit se battre pour ses clients devant les tribunaux. Mais en raison de son statut d'immigration, ses réalisations sont désormais menacées par la décision du président Donald Trump de mettre fin au programme DACA.

Le mandat de prise en compte de l'action différée pour les arrivées d'enfants (DACA) a permis à près de 800 000 jeunes sans papiers de sortir de l'ombre qui

- comme Vargas - sont arrivés mineurs dans ce pays. Le programme a été approuvé par le président Barack Obama en 2011 pour empêcher l'expulsion de ces jeunes, après que le Congrès n'a pas accepté d'adopter la loi DREAM qui a ouvert la voie à la citoyenneté.

«Je me souviens de mon dernier jour d'école au Mexique. Ma mère est venue me chercher tôt. Nous sommes allés chercher ma sœur et mon frère, et nous sommes allés à la cathédrale de Puebla comme pour dire adieu au pays qui nous a vu grandir », se souvient Vargas, 34 ans, de son départ vers le Nord.

Vingt-sept ans plus tard, elle attribue à l'exemple de sa mère, qui les a élevés seule, la ténacité et l'espoir qui lui ont permis de surmonter les obstacles dans sa vie.

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